La prévoyance sociale permet à un individu de mettre de l'argent de côté. C'est une possibilité liée à ce qu'on appelle le troisième pilier. Ce 3e pilier comporte deux options : 3a et 3b. L'option 3b est celle qui est dite libre. Dépourvue des contraintes de la formule 3a, elle séduit assez de personnes. Cet article la présente.
À quoi se résume le 3e pilier 3b ?
Le contrat de prévoyance est variable d'une agence à l'autre. Pour mieux découvrir comment ce pilier fonctionne,allez sur le site . Cependant, lorsqu'on souscrit pour le troisième pilier dit libre, l'on tire aisément quelques profits. C'est déjà le fait même de décider de beaucoup de paramètres liées au contrat qui est intéressant. L'on est ainsi libre de définir le taux de primes qu'il s'apprête à verser. Cette liberté de choisir va jusqu'à la fréquence à laquelle l'on veut verser la somme. Ainsi mensuellement ou annuellement, l'on peut autoriser le prélèvement. Le contrat peut être rompu sans motif à tout. Et ce même si l'on n'est pas encore à la retraite. Il est d'ailleurs envisageable d'honorer le contrat en étant retraité. Aussi, aucune réserve héréditaire ne pèse sur les bénéfices à part celle du décès de la personne ayant souscrit.
Quelle est la relation entre fiscalité et 3e pilier 3b ?
Le système de prévoyance suisse a prévu une disposition pour le 3e pilier 3b. Cette disposition prévoit des avantages notamment fiscaux. Ils englobent les déductions partielles de cotisations. Ce sont des dispositions qui reposent sur des lois cantonales. Ainsi, d'un canton à l'autre, les conditions changent beaucoup. Le conseil prodigué à cet effet est de prendre le renseignement selon le canton dans lequel l'on vit. Si l'on est contraint de déclarer à l'administration fiscale, l'un peut se réjouir d'un avantage alléchant. En fait, l'impôt n'est en aucun cas appliqué au capital reçu au bout du contrat quel que soit le canton dans lequel l'on se trouve.