D'une manière ou d'une autre, l'on peut se retrouver en position de meurtrier très souvent par légitime défense qui aurait mal tourné. Il existe deux types d'homicides: volontaire et involontaire. Qu'en dit la loi ? Cet article nous aidera à y voir un peu plus clair.
Homicide volontaire
Un homicide volontaire est le fait de mettre fin à la vie d'un humain d'une façon consciente et voulue. C'est le fruit d'une réaction irréfléchie résultant d'une colère et autres. L'acte reste le même quelle que soit la finalité. Que la victime ait succombé ou pas, le geste reste le même et demeure un homicide. L'acte est puni selon la loi en vigueur dans l'Etat comme l'on peut le voir à travers l'explication détaillée de la juridiction.
Dans le cas d'un homicide volontaire, la loi est stricte et la peine peut paraître très sévère en fonction de la juridiction de chaque État. La certitude commune est qu'il va écoper de longues années d'emprisonnement et des amendes à payer à la famille de la victime si ce dernier en est décédé ou à la victime lui-même s'il s'en est sorti.
Homicide involontaire
L'homicide involontaire est commis accidentellement. Ce type de crime survient soit face à une situation ne laissant pas le temps de réfléchir ou face à une situation de vie ou de mort. Le meurtre découlera ici de la légitime défense. Il peut également survenir lors d'une farce ou un jeu qui aura mal tourné.
Face à une telle situation, la loi après maintes analyses peut punir l'accidentel meurtrier à 3 ans de prison et une caution de quelques milliers d'euros. Cependant, la cour doit nécessairement reconnaître la nature légitime des actes de défense ou autres ayant conduit à ce résultat avant toute clémence. Finalement, il est à retenir que le meurtre quelle que soit sa nature est passible d'emprisonnement.